| | | C a n d i e ; it’s never too late to make it right . |  |
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+3Sasha A. Goode Peace K. Dawson Candide S. Jenkins 7 participants | | Auteur | Message |
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Candide S. Jenkins
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| | Sujet: C a n d i e ; it’s never too late to make it right . Dim 15 Fév - 3:23 | |
| y o u d o n' t l i e t o t h e m i r r o rNous voulons tout savoir sur toi; tant que cela reste superficiel; oui ton nom nous intéresse et ton prénom encore plus. On adorerait savoir où tu es né(e), quand et quelle est ta nationalité. Ton travail nous passionnerait, j'en suis sûr.Candide Sue Jenkins.
Was born in London City.
as a such english pretty girl.
in December, 26th 1984 ;
twenty-five yo.
pub's owner ; model.
do you wanna FUCKme ?
oh I know you do, don't even know why I am asking.
played by Olivia Wilde. o u r l a s t d a n c eÇa y est, voilà la fin; dans quelques secondes ton calvaire sera terminé alors vas-y, lance tes dernières forces dans la course, tu y es presque. Et rappelle-toi que quoiqu'il arrive on t'aimera toujours. Ou pas.Pseudo: Cass'.
Comment avez-vous connu le forum: Alice, la seule, l'unique <3
Ce qui vous y plait le plus: Absolument tout. Le design est magnifique, gros coup de cœur d'ailleurs. Et puis, je ne parle même pas des descriptions des catégories. Excellentes, vraiment.
Un dernier mot: J'ai mal à la gorge ; j'vais prendre une pastille. Ah bon, tu t'en fiches ?
Code: - Spoiler:
Nan je plaisante, il n'y a pas de code.
Dernière édition par Candide S. Jenkins le Mer 18 Fév - 2:31, édité 3 fois | |
| | | | Candide S. Jenkins
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| | Sujet: Re: C a n d i e ; it’s never too late to make it right . Dim 15 Fév - 3:24 | |
| t e l l m e s t o r i e s o f y o u t hNous ne sommes pas qu\'une bande de groupies sans cervelles qui n'aiment que la carapace; on aime aussi la chair et l'âme. Alors dévoile-nous tout, déshabille-toi devant nous, lis-nous des passages de ton journal intime. On veut tout savoir. Tout.Ce passage doit être assez long, une grosse trentaine de ligne minimum puisque vous devez réussir à nous raconter un maximum de choses. Vous pouvez choisir de faire cela sous la forme de RP ou sous une forme plus organisée et plus courante. N'hésitez pas à beaucoup écrire.
« Alors c’est tout, tu me laisses comme ça, c’est juste fini ? Comment tu peux être aussi égoïste, aussi horrible ? Aussi inhumaine… Je comprends pas. »
J'entends encore sa voix. Ces mots qui, par moment, jaillissent de nulle part.
Ils m'enveloppent à sa place la nuit, me hantent.
Moi non plus, j'ai pas compris.
Novembre.
Une soirée quelconque.
« Ah, arrête tes conneries Candide, on sait que tu t’en fous des autres, même de moi, tu t’en fous…Y a que toi qui t’intéresse. On se connait depuis quand, maintenant ? Quatre ans ? Je te connais mieux que toi-même, ma belle. »
J’avais envie de lui dire, la ferme, tu me connais pas, moi-même je ne me connais pas, alors comment peux-tu prétendre me connaître, abruti ? Ouais ouais, quatre ans qu’on se connait. Bien, bien. C’est un peu trop, non ? Ne voyait-il pas que, ce qu’il me racontait, ça me passait carrément au-dessus de la tête. Alors, ouais, peut-être qu’il avait raison. Qu’importe ? Ce qui m’importait, là, c’était de savoir elle était où ma coke ? Elle était où, hein ? Tu peux me le dire ? Ouais, je me calme. Je la chercherai après, tant pis. Je pourrais tenir. Il me fallait juste un verre de vodka. Juste ça.
Du regard, je me suis mise à la recherche du buffet. Quel côté déjà ? Ah, oui, par là…
J’ai avancé, puis je suis arrivée à quelques mètres de la porte d’entrée et c’est là que je l’ai vue , ce petite chose fragile, à la démarche hésitante, qui se voulait nonchalante.
Elle resplendissait et dire qu’elle était belle aurait l’attrait d’un vulgaire euphémisme.
Alors, j’ai commencé à la fixer. J’analysais ses moindres faits et gestes. Timidement, elle tendait le bras. Elle l’allongeait ; prenait la coupe de champagne. Sa conscience, dilemme ; dis, je peux, tu crois ? Ouais, champagne, c’est rien, vas-y. Non, repose ; prendre de la vodka. J’imaginais cet ange et ce diable révolté, s’affrontant.
J’aimais ça...j’avais du abuser des petites pilules, tu crois pas ?
Je détournai mon regard, l’espace d’un instant, de quelques secondes que je laissais s’échapper.
Aux alentours, mes yeux ont pu voir des drogués, des alcooliques, des sachets de coke, des sachets de petites pilules, des bouteilles d’alcool jonchant le sol, tenant compagnie à des gobelets usagés, mégots en tout genre et parmi tout ça, elle était là. Elle faisait positivement tâche et contrastait avec le reste. C’était beau à voir, ça, tu sais ? C’est pas tous les jours qu’une petite dans son genre arrive, ayant l’air de découvrir ce monde qui s’offre à elle. C’est beau la naïveté, tu crois pas ?
Une petite marionnette. Tu veux jouer ? Alors, vas-y, attrape les fils, sers fort, ils s’offrent à toi. N'oublie pas ce qui est y est rattaché.
Servie sur un plateau, presque. Puis, toi, sur un autre plateau, t’offre le reste…coke, ma belle ? Tu trouves ça beau, la naïveté.
Et puis, la soirée se poursuit. Drogues, alcool, sexe…si je te dis qu’il fallait éviter les toilettes du loft, j’te fais pas de dessins, hein ? Ouais, je me disais bien.
Alors, je sais pas moi, il devait être trois heures du mat’, peut-être plus, peut-être moins, franchement, qu’est-ce qu’on s’en fout…Le principal, c’est qu’elle était encore là.
Elle se tenait debout, au beau milieu du loft. Elles étaient belles ses chaussures, si ça t’intéresse. J’aime le léopard, pas toi ?
Va te faire.
Je disais, elle était là, bien droite, avec l’abruti qui m’avait servie d’ami en début de soirée et ce pendant ces quatre années écoulées. Un vrai abruti sans grande conversation. Celui que tu supportes parce qu’il a des amis qui ont des amis, simplement.
Celui aussi qui croit qu’il est super sexy en slim moulant alors qu’il a oublié qu’il portait un boxer Snoopy. Mon chou, tu sais qu’il te fait de l’ombre ton boxer, carrément ? Ouais, passons.
Elle était là, il était là. Ils discutaient. Ou plutôt, il devait se parler tout seul. Une grande habitude . Alors, il parlait, baratinait et elle, devait écouter. Ou faire mine d’écouter, qui sait ? Je n’arrivais pas à savoir ce qu’elle pensait.
Alors, il se rapprocha d’elle. Un peu trop près, à mon gout. A mon tour, je me rapprochais.
Dégage Snoopy, c’est la mienne, j'ai pensé.
Je me suis donc avancée vers elle et j’ai entamé la conversation. Je me souviens avoir été cynique et ce malgré moi. En revanche, je ne me souviens plus exactement ce que je lui ai dis. J’étais défoncée, tu te rappelles ? Elle a pleuré. Je me rappellerai toujours de ses petits yeux, de petits émeraudes scintillants à son image. Je l’ai faite pleurer. Suis-je censée lui dire pardon ? J’aimerai un coup de pouce. C’est trop tard, n’est-ce pas ?
Chut. Ne confirme pas quelque chose que je sais déjà.
Après cela, je ne sais plus très bien ce que j’ai dis. Juste, je lui ai parlé du Père-Noël et de ce que le gentil monsieur m’avait apporté.
Pour remettre les choses dans leur contexte, mon Père-Noël à moi, c’était Snoopy. Vous voyez l’utilité, maintenant ? Et puis, étant donné que je suis une âme des plus charitables, je lui en ai proposé. D’un signe de tête, elle a refusé. Je l’ai convaincue, évidemment. Et puis, bien sûr, inutile de préciser qu’elle a aimé. Tout le monde aime ce qu’un Snoopy peut proposer, n’est-ce pas ? Voilà, ravie de voir que nous sommes sur la même longueur d’ondes.
Ensuite, Peace (oui, parce que c’est comme ça qu’elle s’appelait, au fait) et moi sommes parties. Où ? Chez moi. Ce que nous avons fait ?…t’avais qu’à être là.
- The sleepless nights and the tears you cried.
Les mois se sont écoulés et Peace avait dangereusement pris goût à l’alcool et aux drogues. Elle était devenue accro à ces substances illicites autant que moi, j'imagine. J’ignore ce qu’elle voulait oublier, allez savoir.
Et puis, durant cette période d’environs six mois je dois avouer que Baby Peacy, comme j’aimais l’appeler, et moi-même nous étions particulièrement rapprochées. Nous sortions ensemble et étions toujours fourrées ensemble. Partout où j’allais, elle me suivait. Elle était devenue mon ombre ; ses yeux émeraudes que j’aimais tant avaient virés à un turquoise des plus sombres et j’étais consciente que, petit à petit, la lueur qui les animait pliait bagages.
Tu sais, j'aurai aimé le lui dire.
Lui dire quoi ?
Que je l'aime, pardi.
Alors, pourquoi pas ?
Parce que tu sais, la lâcheté, c'est pas quelque chose qu'on peut soigner.
C'était le bon temps. Je m'en fichais d'elle. On vivait, on fumait, on sniffait, on gueulait, on s'embrassait, on s'enlaçait. Souvenirs, quand tu nous tiens.
Je rembobine jusqu'à cette belle époque, je mets pause, je pleure. Comme une conne.
A cette période, je ne pensais pas encore à elle comme à celle qui allait me faire prendre peur. A partir du moment où je l’ai réalisé, j’ai fais preuve d’une extrême et honteuse lâcheté. Je réalisais que je tenais à elle, que presque, je dépendais d'elle.
Totalement, en fait.
La vérité, c’est que jamais je n’aurai imaginer aimer quelqu’un. Ne pas m’attacher, éviter à tout prix de souffrir, ce sont des principes. Des principes qui débouchent sur une certaine facilité mais que voulez-vous ? L’être humain est lâche ; j’en suis un bel exemple, en chair et en os, étalé sous vos yeux critiques.
Je dois aussi vous avouer que jusque là, j’avais toujours vécu dans l’optique que, jamais, je ne m’attacherai à quiconque, que je serai toujours maître de mes sentiments et de mes émotions. Jamais je ne serai dépendante de qui que ce soit, si ce n’est de la drogue, la seule à laquelle j’arrive encore à jurer fidélité sans avoir des airs de famille avec Pinocchio, l'ami que tous avons en commun.
Mais voilà, j’en étais là : Baby Peacy a débarqué dans ma vie. Elle a tout chamboulé sur son passage, absolument tout et je me devais de lui dire au revoir.
Adieu ma belle. Je t’aime, tu sais ? Mais non, elle ne le sait pas. Cette dernière phrase, je ne l’ai pas dite. Rien qu'à moi-même, j'ai du mal. Les mots ne sortent pas, ne se pensent pas.
Demeure alors l’absence. Pesante. Je ressens ce manque que je m’étais interdis de ressentir. Ce manque que vous ressentez lorsque quelqu’un qui vous est cher manque à l’appel.
Ce manque plus fort et plus ardent que quoique ce soit d’autres, ce manque qui vous ronge et vous agresse, plus fort que le manque que vous ressentez lorsque Snoopy n’est pas à l’heure que vous aviez convenu dans la petite ruelle sombre de Soho.
This time I think I’m to blame it’s harder to get through the days
You get older and blame turns to shame.
Sorry.
Dernière édition par Candide S. Jenkins le Mer 18 Fév - 3:00, édité 4 fois | |
| | | | Peace K. Dawson
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| | Sujet: Re: C a n d i e ; it’s never too late to make it right . Dim 15 Fév - 3:25 | |
| Haaaaaaaaaaaan bienvenue mon amouuuuuuuuuuuuuuuur  | |
| | | | Candide S. Jenkins
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| | | | | Peace K. Dawson
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| | Sujet: Re: C a n d i e ; it’s never too late to make it right . Dim 15 Fév - 3:41 | |
| Oh meurcii ma trainée préférée  | |
| | | | Sasha A. Goode
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| | Sujet: Re: C a n d i e ; it’s never too late to make it right . Dim 15 Fév - 3:42 | |
|  Bienvenue =D | |
| | | | Pixie Fekkai
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| | | | | Abigail M. Savage
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| | Sujet: Re: C a n d i e ; it’s never too late to make it right . Dim 15 Fév - 4:08 | |
| Bienvenue sut Darling : ) Bonne continuation pour ta fiche | |
| | | | Isaac P. Dixon
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| | | | | Pete MacLachlan
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| | | | | Candide S. Jenkins
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| | Sujet: Re: C a n d i e ; it’s never too late to make it right . Lun 16 Fév - 19:14 | |
| Merci. =)
Ouais, Kirsten <3.
Mais je change finalement pour Olivia Wilde, qui correspond plus au personnage que je souhaite interpréter. XD
*va avancer sa present' >>* | |
| | | | Candide S. Jenkins
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| | Sujet: Re: C a n d i e ; it’s never too late to make it right . Mer 18 Fév - 2:35 | |
| Double-post, sorry ;
mais, je pense avoir -enfin- terminée ma fiche. =) | |
| | | | Peace K. Dawson
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| | Sujet: Re: C a n d i e ; it’s never too late to make it right . Mer 18 Fév - 3:00 | |
| Tout est bon pour moi, validée  | |
| | | | Candide S. Jenkins
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| | Sujet: Re: C a n d i e ; it’s never too late to make it right . | |
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