Sasha A. Goode
FUCKME, grab me, kill me, love me.
 Nombre de messages : 746
Age : 35
Quote : I wanna do what common people do, I wanna talk with common people, I wanna sleep with common people.
Identity : 
Date d'inscription : 05/02/2009
Your Darling Box
Your Darling Darlings:
Darling Song:
Be A Bad Darling:
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Sasha A. Goode
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| | Sujet: Re: f r o m a s h e s t o a s h e s; s a s h e s Lun 9 Fév - 21:44 | |
|  t e l l m e s t o r i e s o f y o u t hNous ne sommes pas qu'une bande de groupies sans cervelles qui n'aiment que la carapace; on aime aussi la chair et l'âme. Alors dévoile-nous tout, déshabille-toi devant nous, lis-nous des passages de ton journal intime. On veut tout savoir. Tout.it always starts in a bed; chap. i
Le premier lit fut celui de mes parents. Margareth était ce qui se rapprocherait le plus d'une femme vénale. Une pute? C'est de ma mère qu'on parle. Et elle n'étais pas comme ça; pas sciemment en tout cas. Elle aimait l'argent parce qu'elle baignait dedans depuis toute petite; c'était sa potion magique sans laquelle elle n'avançait pas. L'amour, son bonheur personnel, son épanouissement intellectuel, tout ça n'avait aucune importance si l'argent n'entrait pas en ligne de compte. Erwan ne s'en plaignait pas. Ça n'était pas un homme à femme: petit, maigrichon, le teint cireux à force de rester enfermé, les cheveux gris à trente ans, allergique à tout même à sa famille, il savait qu'il n'aurait eu aucune chance d'intéresser une "belle partie" sans son compte en banque et son porte-feuilles d'actions. On se résout à n'être que ce que l'on est et à arrêter de rêver d'être plus au bout d'un certain temps; c'est ce que je pense en tout cas. Lui s'était résolu à n'être qu'un vermisseau que l'on aime uniquement pour sa tune; Maggie avait pris son parti de n'être destinée qu'à être "une femme", même si c'était une femme du monde et elle se comportait en conséquence. Elle ne fit pas d'études et attendit qu'on veuille bien la prendre (pour épouse). Les demandes se pressaient au portillon mais elle choisit Erwan, parce qu'il avait la plus grosse -fortune. J'ai presque envie de dire que cela n'avait rien d'étonnant; elle venait d'une famille aristocratique dont les richesses étaient parties dans les limbes depuis plusieurs générations et c'était donc un échange de bons procédés: les Goode gagnait des liens de la haute et les Acreston redorait un peu leur blason, dans le sens le plus matériel du terme. Après tout, pourqui pas si chacun y trouvait son compte. Mais ce que personne n'avait prévu, c'est qu'au milieu de tout cela, leur enfant pourrait pâtir de cette situation; et c'est ce qui se passa. Je ne prétends pas être foncièrement pas malheureux, ni même l'avoir été un jour comme ont pu l'être d'autres enfants qui devaient faire face à bien pire. J'aurais juste voulu autre chose, c'est tout.
Apparemment aucun de mes vêtements n'étaient à portée de ma main; tout ce que j'avais près de moi, c'était ses vêtements à lui; or le but étant de partir le plus discrètement et rapidement possible, je ne pouvais pas me permettre de lui emprunter ses vêtements pour ensuite les enlever afin de mettre les miens... Je suis resté longtemps perplexe, à moitié relevé dans le lit avant de me décider à en sortir. J'ai donc repoussé les draps et et je me suis levé quand, jetant un œil en arrière, j'ai aperçu un petit bout de ses fesses. Je n'ai jamais réussi à résister à l'appel de la chair et je me suis donc recouché immédiatement en faisait le plus mouvements possible pour le réveiller. Le voilà qui se réveillait, mission accomplie. Prochaine étape, l'amener à se livrer à nouveau à moi; j'y étais arrivé une fois, pas de raisons que j'échoue. Il semblait émerger difficilement; je suppose qu'on avait trop bu l'un et l'autre puisque je ne me souviens toujours pas de la nuit qu'on passée. En revanche, je garde un souvenir impérissable de chaque position qu'on a essayée ce matin-là puis durant les mois suivants. Je ne savais pas qu'Isaac Dixon flashait sur les mecs. Mais j'en ai été ravi.
J'accumule les coucheries à tout va. Isaac ne m'a pas suffi. De toute façon ça n'a pas duré; on a baisé quelques temps mais ça n'a pas été assez ni pour lui ni pour moi, pourtant je suis un bon coup et lui se défendait mieux que bien. Ça a vraiment été une période sympa parce que j'avais presque l'impression d'être plus stable. Le truc c'est que je baisais beaucoup, pour ne pas dire tout le temps, avant de le rencontrer et que ça me manquait. Je n'ai pas le caleçon en feu: je n'ai pas de caleçon du temps ça va plus vite pour dégainer. Qu'on me laisse au milieu de beaux garçons célibataires et pédés et j'en ramène au moins deux chez moi. Je ne sais pas si je suis beau mais en tout cas j'arrive à faire croire aux autres que je le suis et surtout à leur faire croire que je les trouve tellement beaux qu'ils n'ont aucun égal sur Terre et rien de tel pour les mettre dans mon lit ou pour me mettre dans le leur. J'aime le sexe comme d'autres la bibine. Et moi je ne fais pas l'amour, je baise. Quitte à blesser, à passer pour un égoïste, un excité, un salaud. Je baise parce que rien qu'à l'idée d'être en compagnie d'un canon, ma braguette descend toute seule. | |
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